Ce n'est pas une fatalité


- - - - - - - - - - - - - - - - - - - Ce n'est pas une fatalité irrémédiable - - - - - - - - - - - - - - - - - - - Comment j'ai "vaincu" la maladie - - - - - - - - - - - - - - - - - - -



Avec un bon protocole de soin, un suivi, beaucoup de temps, une rééducation physique assidue et une volonté de s'en sortir, oui, le retour à la vie normale est possible !


Dans les articles vous pourrez lire mon expérience, mes impressions ; dans la page "Mon parcours" vous y retrouverez, entre autres, le suivi journalier du programme de rééducation physique, et enfin dans "Info pratiques" vous trouverez quelques démarches utiles et / ou nécessaires pour la reconnaissance de votre situation, de votre maladie et de vos droits.



mardi 15 mai 2012

Test "grandeur nature" de maîrise de la fibromyalgie au masculin !

"Comment as-tu pu faire une journée comme aujourd'hui sans avoir pris tes médicaments ce matin !"

C'est l'étonnement de ma fille hier soir lorsque je me suis aperçu que j'avais oublié de prendre le peu de médoc qu'il me reste à prendre au quotidien !

En effet, visiter les arènes de Nimes, monter, descendre les niveaux, marcher toute la journée, faire trois heures de TGV et une heure de voiture entre neuf heures et minuit trente, cela fait beaucoup d'activité, de fatigue.

Il faut avouer qu'entre mardi 8 mai et jeudi 10 mai minuit, j'ai mis à l'épreuve mon niveau de maîtrise de cette pathologie.

En effet,
  • mardi après une heure de voiture, nous avons pris le TGV pour aller à Nimes (2H52), nous avons déposé nos bagages à l'hôtel, visite d'une exposition, et du coeur de la ville en arpentant les rues ou ruelles du vieux Nimes jusqu'à vingt deux heures ;
  • mercredi, j'ai poursuivi ma visite de Nimes : le matin, en parcourant les rues, la cathédrale romane, la place de la fontaine, la tour Magne, le panorama sur Nimes depuis le haut de la tour, et visite des arènes l'après midi en escaladant tous les niveaux de la visite audio guidée que j'ai beaucoup enrichie pour avoir les meilleurs points de vue sur l'arène, mais aussi sur la ville en faisant le tour de cet amphithéâtre en son sommet pour découvrir la ville d'un autre point de vue ;
  • jeudi, visite de la maison carrée, les arènes à nouveau (avec ma fille cette fois ci), la cathédrale et les ruelles en attendant l'heure du départ du TGV (2H52) et une heure de voiture jusqu'à la maison.
Je dois avouer que je suis fatigué, les mollets tirent "un peu". Il faut dire que les niveaux  des "gradins de pierre" sont particulièrement élevés et les kilomètres parcourus en trois jours sont probablement importants.

J'ai fait le plein de soleil, de chaleur , douceur de vivre, de vues à couper le souffle.

A des fins préventives, j'ai pris chaque matin, un comprimé du médicament à prendre en cas de crise, en prévision des épreuves que j'allais faire subir à mes muscles.

J'ai même osé, au cours de la complicité avec ma fille  et de nos jeux, une petite course de vitesse, lui accordant un handicap en portant le sac à dos de matériel photo, qui pèse quelques kilos !

En conclusion,  je suis satisfait de ce que j'ai pu faire, comme j'aurai pu le faire à mon âge de demi-centenaire passé de deux année, en pleine capacité et maîtrise de son corps et esprit ! 



Je m'accorde deux jours de repos avant de prendre la route pour Limoges, et visiter, arpenter, voir, photographier tout ce qui m'interpellera durant une semaine en Limousin.

Le retour au bureau me paraîtra bien peu actif sur le plan physique au retour de Limoges.

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