Face à cette pathologie, il faut une volonté ferme mais pas inflexible. Il faut être indulgent avec soi même.
Facile à dire, mais pas aisé à mettre en pratique au quotidien, mais, je sais que :
- si je ne fais pas mes exercices physiques de rééducation, je vais laisser le champ libre à la douleur,
- si je suis dur avec moi en m'imposant les exercices, la douleur va malgré tout venir et je vais me décourager,
- je dois me fixer des objectifs ambitieux et réaliste pour solliciter tous les muscles et les stimuler plus longtemps, petit à petit,
- le repos accordé une journée ou deux pour ne rien faire "lecture, mots fléchés, mots croisés shoping, bricolage, promenade avec BBGG) est bénéfique pour le moral,
- il faut se prendre "au jeu" en suivant la réalisation des exercices, répertoriés par nature, et en affichant la durée, le niveau de douleur et la prise de médicaments,
- il faut être ferme avec soi même, car il est plus facile de ne "rien faire",
- il faut être indulgent avec soi même : admettre que l'on est pas "superman", ni "wonderwoman", l'essentiel est de solliciter les muscles,
- moins on en fait, moins on a envie d'en faire, ce qui conduit invariablement à une augmentation de la douleur (intensité, durée, fréquence), et plus on a mal, plus les exercices sont difficiles ... le cercle vertueux ainsi caressé devient vicieux.