Ce n'est pas une fatalité


- - - - - - - - - - - - - - - - - - - Ce n'est pas une fatalité irrémédiable - - - - - - - - - - - - - - - - - - - Comment j'ai "vaincu" la maladie - - - - - - - - - - - - - - - - - - -



Avec un bon protocole de soin, un suivi, beaucoup de temps, une rééducation physique assidue et une volonté de s'en sortir, oui, le retour à la vie normale est possible !


Dans les articles vous pourrez lire mon expérience, mes impressions ; dans la page "Mon parcours" vous y retrouverez, entre autres, le suivi journalier du programme de rééducation physique, et enfin dans "Info pratiques" vous trouverez quelques démarches utiles et / ou nécessaires pour la reconnaissance de votre situation, de votre maladie et de vos droits.



samedi 4 janvier 2014

Une année qui s'achève, une nouvelle qui commence ...

Voilà une année qui s'est achevée, une nouvelle commence depuis quatre jours.
Un petit retour sur les événements récents :
  • novembre 2013 :
  • - une méchante et violente gastro qui m'a mis par terre pendant une semaine :
    • j'ai perdu 5 kg, totalement épuisé ;
    • plus d'une semaine pour récupérer.

    - mon ordinateur qui rend l'âme : plus d'internet, de blog, de traitement des photos ...
     
    - rendez-vous le 18 novembre 2013, avec le Professeur Perrot à l'Hôtel Dieu à Paris. Il faut continuer le protocole de traitement en cours :
    • faire des activités physiques en privilégiant celles qui sont faites en groupe ou dans le cadre d'une salle de sport par exemple, pour ajouter l'émulation, ce que la pratique individuelle ne connaît pas de la même façon ;
    • maintien du traitement de soutien en cours.
    • engager un suivi psychologique, sophrologique pour mieux dompter encore la douleur, même latente qui nous use à la longue ;
    • envisager le cas échéant le recours aux cures.
  •  décembre 2013 :
  • - deux décès soudains dans la proche famille, juste avant les fêtes de fin d'année, ça m'a secoué :
    • ma belle-mère, je suis allé aux obsèques en me mettant parmi les anonymes, pour rendre hommage à la disparue que j'ai tout de même côtoyée pendant près de trente ans, la grand mère de mes filles que je représentai également, puisqu'elle n'ont pas pu venir ; épreuve difficile, mais plus encore puisque depuis le divorce j'ai été exclu de ce cercle familial ;
    • ma tante, de mon âge ou presque (huit mois de plus que moi).