Ce n'est pas une fatalité


- - - - - - - - - - - - - - - - - - - Ce n'est pas une fatalité irrémédiable - - - - - - - - - - - - - - - - - - - Comment j'ai "vaincu" la maladie - - - - - - - - - - - - - - - - - - -



Avec un bon protocole de soin, un suivi, beaucoup de temps, une rééducation physique assidue et une volonté de s'en sortir, oui, le retour à la vie normale est possible !


Dans les articles vous pourrez lire mon expérience, mes impressions ; dans la page "Mon parcours" vous y retrouverez, entre autres, le suivi journalier du programme de rééducation physique, et enfin dans "Info pratiques" vous trouverez quelques démarches utiles et / ou nécessaires pour la reconnaissance de votre situation, de votre maladie et de vos droits.



Des dommages collateraux

Sans vouloir vous faire peur

"On ne sort pas indemne de cette maladie ! "


Il y a souvent des dommages collatéraux


Mise à jour permanente selon les événements 


  • Les amis, les proches s'éloignent ... au fil du temps ... au fil de notre susceptibilité incontrôlable ;
  • Nos conjoint et enfants, eux aussi ne supportent plus à la longue et s'éloignent quand ils ne nous quittent pas ;
  • Notre emploi à notre retour dans l'entreprise : reclassement le plus souvent, l'aménagement du poste de travail dans son ergonomie, mais aussi dans son contenu ;

Mon épouse a quitté le domicile conjugal début février 2011 alors que cela faisait déjà un mois que je reprenais le travail à temps partiel thérapeutique.Sa décision de partir était déjà prise depuis plusieurs mois et elle attendait la fin de l'année scolaire par annoncer son départ, en nous mentant depuis plus d'une année. Elle avait commencé une aventure depuis de nombreux mois. Déjà cet été, en vacances en Alsace, elle pensait à lui. La relation a été consommée, la décision de s'installer ensemble à été mise en oeuvre. Lui a quitté son épouse qui à une sclérose en plaque. Moins de 8 jours après avoir quitté le domicile, ils étaient installé dans leur appartement.

--------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------

Comment entretenir, maintenir des relations amicales, nourrir des espoirs dans les personnes avec qui nous partageons une correspondance, une complicité par mail interposés, avec des personnes que l'on peut rencontrer, ici ou la, lors de soirées entre amis, en gardant pour soi un tel secret, ce handicap qui pour mon cas personnel ne se voit pas ... et me laisse vivre normalement.

Je vis normalement ? Bien sur que non, puisque je me suis retrouvé seul et le suis encore aujourd'hui !

Je ne me considère "handicapé" que par le qualificatif administratif qui m'a été attribué par une autorité administrative ... ce vocable "handicap" qui fait peur !

4 commentaires:

  1. Même si parfois c'est dur de vivre avec une personne fibromyalgique, rien n'est plus difficile que de supporter les douleurs que ressent celle-ci. On n'a pas le droit d'ajouter de la douleur à la douleur. Je ne quitterai jamais mon Amour, car c'est un combat que nous menons à deux et que nous gagnerons ensemble. Effectivement, il y a des dommages collatéraux. L'écrémage se fait "naturellement auprés de nos amis mais le pire c'est la famille. Quand on n' est pas passé par ces moments douloureux physiquement et moralement, on est loin d'imaginer le calvaire ! Bon courage à tous et gardez le moral malgré tout( même si cela est facile à dire !)

    RépondreSupprimer
  2. Faut aussi dire que des gens "bien intentionnés" conseillent avec des "tu ne mérites pas de vivre ça", "tu es jeune", "tu as le droit de vivre ta vie". On y a été confronté dans mon couple et ça a faillit voler en éclat, c'est très difficile...
    Les amis, je confirme : les 3/4 sont partis sans dire un mot...

    RépondreSupprimer
  3. C'est du vécu également mais je pense que la fibromyalgie n'est pas la seule responsable de l'échec du couple, il y a également d'autres paramètres qu'on ne voyait probablement pas avant mais évidemment, la maladie n'arrange certainement pas les relations de couple sauf dans les cas execeptionnels.

    RépondreSupprimer