Ce n'est pas une fatalité


- - - - - - - - - - - - - - - - - - - Ce n'est pas une fatalité irrémédiable - - - - - - - - - - - - - - - - - - - Comment j'ai "vaincu" la maladie - - - - - - - - - - - - - - - - - - -



Avec un bon protocole de soin, un suivi, beaucoup de temps, une rééducation physique assidue et une volonté de s'en sortir, oui, le retour à la vie normale est possible !


Dans les articles vous pourrez lire mon expérience, mes impressions ; dans la page "Mon parcours" vous y retrouverez, entre autres, le suivi journalier du programme de rééducation physique, et enfin dans "Info pratiques" vous trouverez quelques démarches utiles et / ou nécessaires pour la reconnaissance de votre situation, de votre maladie et de vos droits.



vendredi 27 avril 2012

Fibromyalgique : un sentiment d'impuissance chronique

FIBROMYALGIE - Le sentiment d'impuissance


Une écrasante majorité des malades reconnaissent une agression (morale, physique, psychologique, sexuelle ou infectieuse) devant laquelle ils sont restés impuissants, incapables de se défendre ou de réagir, une situation qui les a dépassés, comme élément déclenchant de leur fibromyalgie.
Maintenant que la fibromyalgie s'est installée, ils reproduisent le même stéréotype. Contre la maladie, ils se montrent impuissants, incapables de se défendre ou de réagir, c'est une situation qui les dépasse.

C'est un des fondements de la fibromyalgie, et on pourrait même l'ajouter dans les symptômes de la maladie : le sentiment d'impuissance, l'idée de chronicité et d'irréversibilité (rapport de la H.A.S).
C'est à cet effet que la thérapie cognitive et comportementale vient en tête des thérapies à venir.
Quand le problème de l'agression sera résolu, les autres symptômes de la fibromyalgie disparaîtront à leur tour.



Un malade qui a déjà tenté d'en sortir est sur le chemin de la guérison.


Je suis d'accord avec ce que Alain nous relate. C'est ce que j'explique au travers de l'image du cercle vicieux qu'il faut renverser pour le rendre vertueux, en luttant contre la douleur (physique, psychologique).

En identifiant l'élément qui a généré le développement de la maladie, en en prenant conscience on fait un grand pas vers le mieux vivre, dans les sens du terme.

Si nous ne pouvons pas revenir sur ces traumatismes, les annuler, nous pouvons en neutraliser les effets dans la maladie.

Mon retour à une vie "normale" est en grande partie dû à cette prise de conscience, à la rééducation physique.

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