Ce n'est pas une fatalité


- - - - - - - - - - - - - - - - - - - Ce n'est pas une fatalité irrémédiable - - - - - - - - - - - - - - - - - - - Comment j'ai "vaincu" la maladie - - - - - - - - - - - - - - - - - - -



Avec un bon protocole de soin, un suivi, beaucoup de temps, une rééducation physique assidue et une volonté de s'en sortir, oui, le retour à la vie normale est possible !


Dans les articles vous pourrez lire mon expérience, mes impressions ; dans la page "Mon parcours" vous y retrouverez, entre autres, le suivi journalier du programme de rééducation physique, et enfin dans "Info pratiques" vous trouverez quelques démarches utiles et / ou nécessaires pour la reconnaissance de votre situation, de votre maladie et de vos droits.



jeudi 8 juillet 2010

Consultation à l'Hôtel Dieu

J'ai rencontré le Professeur Perrot ce jour pour faire le point d'évolution du protocole de soin.

EPATE -

A la vue de mon journal de suivi des activités de rééducation et du niveau de douleur, le Professeur a été épaté par ma persévérance, et espérait que tous ses patients en fassent de même.

Depuis janvier 2010 le niveau de douleur est passé de 9 à 3 même 2 et 0 et que la durée des exercices de 5 minutes en janvier est de 90 minutes par jour avec de pointes de 120 et minutes certains jours.

Je dois avouer que je ne suis pas peu fier de moi. J'ai mis la barre haute, mais en connaissant mes limites quotidiennes et ça paie même si je suis épuisé après chaque séance de rééducation que je me fixe.

Le Professeur m'invite à ne pas suspendre la prise de Dol avant et après exercices : ne pas vouloir aller trop vite, continuer si je peux m'en passer mais ce n'est pas la priorité et surtout en prendre en cas de besoin.

La reprise du travail à temps partiel thérapeutique est prévue en septembre 2010.

Nous referons le point en octobre pour voir comment c'est passée la reprise du travail à temps partiel.

Enfin, ce que je savais déjà et que je me suis fait confirmer, la sensibilité à ce risque restera permanente et je peux faire des crises dans l'avenir mais pas d'une telle importance. Il va falloir apprendre à vivre avec, comme la migraine.

J'ai retrouvé des conditions de vie quasi normale en gérant la douleur.
En toute situation, les efforts paient dès lors que l'on en a volonté.

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