Ce n'est pas une fatalité


- - - - - - - - - - - - - - - - - - - Ce n'est pas une fatalité irrémédiable - - - - - - - - - - - - - - - - - - - Comment j'ai "vaincu" la maladie - - - - - - - - - - - - - - - - - - -



Avec un bon protocole de soin, un suivi, beaucoup de temps, une rééducation physique assidue et une volonté de s'en sortir, oui, le retour à la vie normale est possible !


Dans les articles vous pourrez lire mon expérience, mes impressions ; dans la page "Mon parcours" vous y retrouverez, entre autres, le suivi journalier du programme de rééducation physique, et enfin dans "Info pratiques" vous trouverez quelques démarches utiles et / ou nécessaires pour la reconnaissance de votre situation, de votre maladie et de vos droits.



mardi 13 juillet 2010

De l'importance du regard d'un proche

Il est important qu'un proche, très proche, conjoint, compagne ... qui vous connaît le mieux vous suive dans l'évolution de la maladie (soutien moral déjà) et dans les rendez-vous médicaux.

En effet, on croit se connaître, on peut être volontaire, hyper volontaire pour s'en sortir, notre capacité physique, psychique ... est de toute façon limitée. On veut se voir gagnant rapidement, mais on ne voit pas les traits de fatigue qui nous marque au cours de la journée, n'y les gestes qui trahissent la fatigue ou la douleur.

L'oeil du proche est la pour corriger notre perception, et permet de jouer les gardes-fou pour nous éviter de dépasser nos limites de résistance immédiates et dans la durée.

Cette vision externe, permet de nous ramener à la réalité, même si cela nous fait pas plaisir. Et quant cet avis que vous remettez en cause et corroboré par celui d'un médecin ou inversement, c'est dur à admettre, mais il y a de fortes probabilités que ces deux avis sont plus "vrai" que le votre.

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