Ce n'est pas une fatalité


- - - - - - - - - - - - - - - - - - - Ce n'est pas une fatalité irrémédiable - - - - - - - - - - - - - - - - - - - Comment j'ai "vaincu" la maladie - - - - - - - - - - - - - - - - - - -



Avec un bon protocole de soin, un suivi, beaucoup de temps, une rééducation physique assidue et une volonté de s'en sortir, oui, le retour à la vie normale est possible !


Dans les articles vous pourrez lire mon expérience, mes impressions ; dans la page "Mon parcours" vous y retrouverez, entre autres, le suivi journalier du programme de rééducation physique, et enfin dans "Info pratiques" vous trouverez quelques démarches utiles et / ou nécessaires pour la reconnaissance de votre situation, de votre maladie et de vos droits.



samedi 26 juin 2010

Une évolution significative

Le niveau de douleur en dehors de périodes de crises se réduit considérablement : 4 à 3 à 2 voire 0.

Je modifie donc en conséquence mon approche :

  • plus de prise de Dol... 1000 avant ni après sauf en cas de besoin ;

  • augmenter l'intensité des exercices physiques tout en maintenant la durée de l'ordre de 60 à 80 mn par jour, mais sans jamais chercher les limites (rester à une intensité de 60 % des capacités que je ressens) ;

  • effectuer des activités de jardinage, bricolage sur une durée longue mais sans chercher l'effort physique (travail de la durée) ;

  • m'occupper de moi à temps plein.
Après une semaine complète, le bilan est positif : 

  • pendant l'exercice le niveau de douleur est proche de "0/10" mais des naissances de crampes restent importantes en nombre mais restreintes en intensité ;

  • après l'effort aucune douleur ni crampe de façon significative ;

  • une sieste est incontournable, et sa durée est proportionnelle à l'intensité de l'exercice (1 à 3 H) ;

  • si ma mobilité, autonomie et ma capacité tendent vers une situation normale, cela reste toutefois limité à une demi journée, compte tenu de la fatigue physique ;

  • maux de jambe le soir au coucher et pendant la nuit comme on le ressent lorsque l'on a beaucoup couru ou beaucoup marché dans la journée ;

  • au levé, les muscles et les articulations sont particulièrement raides et douloureux ;

  • la douleur au points d'attache des nerfs et muscles sur le bassin est présente le soir et/ou le matin mais avec un niveau évalué à 3 ou 2.
Plus le niveau de douleur se réduit, plus il est difficile de l'évaluer correctement. Au regard des seuils importants que j'ai du subir, cette douleur est proche de 0 et se situe entre 3 et 0.

Par contre la sensibilité au changement de temps est très importante et se traduit invariablement en niveau de douleur, quel que soit les exercices effectués.

La fibromialgie ne me paraît pas irréversible, grace à un protocole de soin adapté et la volonté de m'en sortir !

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