Ce n'est pas une fatalité


- - - - - - - - - - - - - - - - - - - Ce n'est pas une fatalité irrémédiable - - - - - - - - - - - - - - - - - - - Comment j'ai "vaincu" la maladie - - - - - - - - - - - - - - - - - - -



Avec un bon protocole de soin, un suivi, beaucoup de temps, une rééducation physique assidue et une volonté de s'en sortir, oui, le retour à la vie normale est possible !


Dans les articles vous pourrez lire mon expérience, mes impressions ; dans la page "Mon parcours" vous y retrouverez, entre autres, le suivi journalier du programme de rééducation physique, et enfin dans "Info pratiques" vous trouverez quelques démarches utiles et / ou nécessaires pour la reconnaissance de votre situation, de votre maladie et de vos droits.



samedi 16 mars 2013

Existe-t-il un remède miracle contre la fibromyalgie ? (x2/n)

Il n'existe pas un remède miracle, mais une approche multi-disciplinaires.

  • C'est une combinaison différente pour chacun des malades de la fibromyalgie qui comporte un traitement médicamenteux pour les douleurs physiques, et psychologiques, un soutien via la sophrologie pour apprendre à gérer la douleur, une prise en charge psychologique pour apprendre à accepter notre situation et dénouer les maux du passé, une activité physique pour solliciter nos muscles pour les entretenir soit encadrée par un kinésithérapeute, soit par une structure telle que des centres de gymnastiques en salle ou en piscine, ou bien encore en s'inscrivant dans une association sportive pour ptratiquer une activité physique et sportive à notre mesure et dans la bonne humeur.
  • A cette combinaison complexe il faut ajouter les relations sociales qui se tissent avec les encadrants mais aussi les participants de ces différents groupes. Retrouver une vie sociale qui nous oblige à sortir de chez nous, mais pas nécessairement avec des personnes atteintes de pathologie comme nous, bien au contraire, pour nouer des relations privilégiées sur des valeurs humaines, au travers de nos passions respectives, en découvrant celles des autres et en partageant les notres avec elles. En partageant des moments de convivialité avec d'autres personnes.
  • Les passions qui nous ont animé, les passions qui nous font avancer. C'est la encore un levier important dans cette approche multi-disciplinaire. Même si certaines de nos passions ne sont plus à notre portée, nous pouvons en réactiver certaines, en découvrir d'autres qui vont nous guider au fil de notre investissement en elles, vers une voie du mieux être. N'avez-vous jamais constaté que lorsque votre esprit est occupé de façon très attentive, la douleur se fait moins présente, moins aigue, ou même disparait de notre préoccupation du moment. S'évader mais aussi partager avec d'autres ces passions !
  • La volonté, l'acceptation de notre situation, mais aussi le refus de subir. Ce point, c'est celui que me cite mon médecin lorsque je l'interroge sur ce qui me caractérise, sur ce qui fait la différence avec d'autres patients atteints de la même pathologie. Cela ne veut surtout pas dire que ces autres patients n'ont pas de volonté, n'acceptent de subir. Ne vous méprenez pas !
Un cocktail, compliqué, et propre à chacun !


A vous de composer le votre ...

1 commentaire:

  1. J'adhère tout à fait à cette manière de gérer la maladie, ce qui me permet de faire plus de choses et de mieux vivre la maladie ! Je découvre d'autres activités et depuis que j'ai perdu mon travail (il y a 2 mois environ), j'essaye de vivre la vie que je veux dans la mesure du possible malgré d'autres contraintes familiales et financières. C'est un parcours intéressant qui me fait découvrir d'autres richesses dans la vie, d'autres personnes, etc

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