Ce n'est pas une fatalité


- - - - - - - - - - - - - - - - - - - Ce n'est pas une fatalité irrémédiable - - - - - - - - - - - - - - - - - - - Comment j'ai "vaincu" la maladie - - - - - - - - - - - - - - - - - - -



Avec un bon protocole de soin, un suivi, beaucoup de temps, une rééducation physique assidue et une volonté de s'en sortir, oui, le retour à la vie normale est possible !


Dans les articles vous pourrez lire mon expérience, mes impressions ; dans la page "Mon parcours" vous y retrouverez, entre autres, le suivi journalier du programme de rééducation physique, et enfin dans "Info pratiques" vous trouverez quelques démarches utiles et / ou nécessaires pour la reconnaissance de votre situation, de votre maladie et de vos droits.



vendredi 28 janvier 2011

Je ne suis pas seul

Voir l'article du Courrier Picard du 24 janvier 2011, en Page 2

Julien a suivi un parcours identique au mien, mais lui qui est âgé de deux fois moins que moi, s'est lancé dans la compétition.

Bravo à lui.

Julien tient une page Facebook à l'adresse suivante : http://www.facebook.com/pages/Je-me-suis-sorti-de-la-Fibromyalgie/181091978580447

3 commentaires:

  1. Personne ne peut se mettre à la place de l'autre, imaginer la douleur physique et morale, la comparer à une que l'on aurait pu connaitre soi même, non, on ne peut pas. On voit l'autre se tordre de douleur, on voit que la tête souffre autant que le corps, mais on ne comprends pas.
    Une telle volonté est presque inhumaine et pourtant... C'est grâce à elle que revient l'humanité. C'est paradoxal non ?

    Merci à Quwill, Julien et les autres. Par vos témoignages, vous aidez ceux qui souffrent et ceux qui vivent près d'eux à mieux comprendre.
    Si j'avais lu tout ça avant, j'aurais peut-être été plus présente ces deux dernières années.
    Continuez à témoigner de votre quotidien, vous sauverez des vies, vous aiderez des gens !

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  2. Oui merci à vous pour vos témoignages et à ma cousine qui a laissé le commentaire ci-dessus et m'a parlé de vos blogs. J'ai déclaré la maladie il y a trois ans, j'avance pas à pas, mais à vous lire, je vois que ma technique n'est pas bonne, je vais donc recopier certains passages et les montrer à mon médecin.
    Ma cousine qui est comme ma soeur m'a soutenue au début, mais peu à peu, elle s'est éloignée, parce que j'étais parfois méchante et dure avec mon entourage, Déjà avant, je me prenais la tête pour des bêtises, ça s'est empiré avec la maladie, j’interprétais tout mal, je ne supportais rien, je ne voyais que la douleur... un jour, j'ai voulu la faire taire. Il m'a fallu une bonne thérapie pour voir et accepter. Mais peut être que si j'avais lu tout ça avant, je n'en serais pas arrivée là ?
    Aujourd'hui, je pense à moi avant tout, je ne me prends plus la tête sur des détails sans importance, je vais être en retard à mon rendez-vous? ben tant pis, on m'attendra, ma robe est pas repassée ? Pas grave, il faudrait que je range ? Pas envie, je le fais pas. Avant, tout ça m'aurait contrariée, énervée, c'est depuis que j'ai laché prise sur mes exigences que je peux mieux lutter contre la maladie et réussir à avancer, c'est aussi depuis ce moment (quelques mois seulement) que je me suis rouverte au monde et que j'ai rencontré quelqu'un, plus du tout envie d'en finir! C'est aussi depuis ça que ma chère cousine revient plus souvent me voir et que nous retrouvons la complicité d'avant. Grâce à votre blog, elle m'a dit avoir compris des choses, mais ça ne change rien à ce que j'ai été aussi. Maintenant, nous avons les mots pour parler et se comprendre, avant, je n'avais que mes colères, mes désespoirs.
    Et devinez où je suis ? Chez ma cousine qui est en vacances, elle m'a invitée pour la semaine, pour regarder les blogs et Internet parce que je ne suis pas adepte, même si je vois qu'en fait ça peut être bien utile. Donc, depuis dimanche, on lit, on papote, on échange...
    Merci encore ! Et gros bisous ensoleillés du Sud.

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  3. je suis heureux que mon expérience ait pu vous réconcilier

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