Ce n'est pas une fatalité


- - - - - - - - - - - - - - - - - - - Ce n'est pas une fatalité irrémédiable - - - - - - - - - - - - - - - - - - - Comment j'ai "vaincu" la maladie - - - - - - - - - - - - - - - - - - -



Avec un bon protocole de soin, un suivi, beaucoup de temps, une rééducation physique assidue et une volonté de s'en sortir, oui, le retour à la vie normale est possible !


Dans les articles vous pourrez lire mon expérience, mes impressions ; dans la page "Mon parcours" vous y retrouverez, entre autres, le suivi journalier du programme de rééducation physique, et enfin dans "Info pratiques" vous trouverez quelques démarches utiles et / ou nécessaires pour la reconnaissance de votre situation, de votre maladie et de vos droits.



mardi 30 novembre 2010

Ferme volonté et indulgence

Face à cette pathologie, il faut une volonté ferme mais pas inflexible. Il faut être indulgent avec soi même.

Facile à dire, mais pas aisé à mettre en pratique au quotidien, mais, je sais que :
    1. si je ne fais pas mes exercices physiques de rééducation, je vais laisser le champ libre à la douleur,
    2. si je suis dur avec moi en m'imposant les exercices, la douleur va malgré tout venir et je vais me décourager,
    3. je dois me fixer des objectifs ambitieux et réaliste pour solliciter tous les muscles et les stimuler plus longtemps, petit à petit,
    4. le repos accordé une journée ou deux pour ne rien faire "lecture, mots fléchés, mots croisés shoping, bricolage, promenade avec BBGG) est bénéfique pour le moral,
    5. il faut se prendre "au jeu" en suivant la réalisation des exercices, répertoriés par nature, et en affichant la durée, le niveau de douleur et la prise de médicaments,
    6. il faut être ferme avec soi même, car il est plus facile de ne "rien faire",
    7. il faut être indulgent avec soi même : admettre que l'on est pas "superman", ni "wonderwoman", l'essentiel est de solliciter les muscles,
    8. moins on en fait, moins on a envie d'en faire, ce qui conduit invariablement à une augmentation de la douleur (intensité, durée, fréquence), et plus on a mal, plus les exercices sont difficiles ... le cercle vertueux ainsi caressé devient vicieux.

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