Ce n'est pas une fatalité


- - - - - - - - - - - - - - - - - - - Ce n'est pas une fatalité irrémédiable - - - - - - - - - - - - - - - - - - - Comment j'ai "vaincu" la maladie - - - - - - - - - - - - - - - - - - -



Avec un bon protocole de soin, un suivi, beaucoup de temps, une rééducation physique assidue et une volonté de s'en sortir, oui, le retour à la vie normale est possible !


Dans les articles vous pourrez lire mon expérience, mes impressions ; dans la page "Mon parcours" vous y retrouverez, entre autres, le suivi journalier du programme de rééducation physique, et enfin dans "Info pratiques" vous trouverez quelques démarches utiles et / ou nécessaires pour la reconnaissance de votre situation, de votre maladie et de vos droits.



dimanche 5 décembre 2010

Relations sociales

L'arrêt de travail sur une longue durée rompt les relations sociales en dehors du cercle familial. Cette rupture des relations finit par peser lourdement.
Les mois passant, la capacité physique revenant à la normale, je peux effectuer des tâches de jardinage, bricolage, de loisirs (lecture, photographie ...). Même si je reste la plupart du temps seul, le manque de relation sociale en dehors du cercle familial, ne me gène plus (je m'y suis habitué - je suis plus occupé). Comme je suis beaucoup plus autonome je peux faire les magasins.

Aujourd'hui, c'est plutôt la perspective de reprendre une vie professionnelle qui me coûte, avec son lots de mesquineries, duperies, et compétitions ... le travail en soit ne me fait pas peur mais ce sont ces relations trompeuses, fausses qui m'angoissent ... même si je vais retrouver des personnes que j'apprécie beaucoup.

Mon envie oscille entre les deux, j'ai peur du regard des autres, j'ai peur de me sentir diminué, de voir les perspectives professionnelles m'échapper, de n'être plus l'expert que j'étais.
 
J'ai encore près d'un mois pour me préparer à la reprise du travail, d'abord à mi-temps thérapeutique puis à temps plein.

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