Ce n'est pas une fatalité


- - - - - - - - - - - - - - - - - - - Ce n'est pas une fatalité irrémédiable - - - - - - - - - - - - - - - - - - - Comment j'ai "vaincu" la maladie - - - - - - - - - - - - - - - - - - -



Avec un bon protocole de soin, un suivi, beaucoup de temps, une rééducation physique assidue et une volonté de s'en sortir, oui, le retour à la vie normale est possible !


Dans les articles vous pourrez lire mon expérience, mes impressions ; dans la page "Mon parcours" vous y retrouverez, entre autres, le suivi journalier du programme de rééducation physique, et enfin dans "Info pratiques" vous trouverez quelques démarches utiles et / ou nécessaires pour la reconnaissance de votre situation, de votre maladie et de vos droits.



mardi 1 juin 2010

Je m'occupe de moi et je peux m'accorder une pause !

Comme souvent après chaque franchissement de limite, ou après une période d'activité relativement intense, le niveau de douleur augmente. Cette douleur peut être plus ou moins forte avec le temps (pluie, froid ...).

Le chemin peut paraître long et difficile, mais il faut toujours regarder devant, aller de l'avant sans chercher à battre des records, mais aussi, regarder de temps en temps dans le rétroviseur : que de chemin parcouru (depuis l'arrêt de travail, depuis le point le plus bas).

Il faut se dire que l'on est sur la bonne voie. Maintenir l'effort entrepris, au besoin utiliser le traitement médicamenteux prévu pour les situations de crise et compléter avec des Dol ... 1000 et continuer à faire les exercices. D'accord, ça fait dormir, mais c'est parfois nécessaire et il faut savoir s'accorder des pauses, ça fait parti aussi du protocole de soin : s'occuper de soi.

Pour ne pas culpabiliser, je me rappelle régulièrement ce que m'a dit le professeur P... lors de notre première rencontre que j'allais avoir quelques mois pour m'occuper de moi. Je n'aurai que ça à faire, et j'aurai le droit de m'accorder des pauses.

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