Il faut continuer, dans la mesure du possible, à sortir, pour conserver le lien social. Marcher, même en ville, constitue un exercice physique de rééducation.
Ne pas limiter nos relations, communications aux ami(e)s, compagn(e/ons) de maladie, car nous risquons de nous enfermer dans la maladie (tu as mal où et à combien sur 10 ...) ne plus que parler d'elle et par conséquent se soumettre à son emprise.
Essayons de partager nos distractions, passions avec d'autres (fibro et même non fibro), que celles-ci soient bornées à nos limites de résistance, mais en parlant, et partageant nos passions avec les autres.
Restons tournés vers le "monde des ""valides""", ne nous enfermons pas nous même dès lors que l'on peut partager avec les autres, que notre mobilité soit nulle, moyenne, ou proche de notre capacité de valide.
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