Ce n'est pas une fatalité


- - - - - - - - - - - - - - - - - - - Ce n'est pas une fatalité irrémédiable - - - - - - - - - - - - - - - - - - - Comment j'ai "vaincu" la maladie - - - - - - - - - - - - - - - - - - -



Avec un bon protocole de soin, un suivi, beaucoup de temps, une rééducation physique assidue et une volonté de s'en sortir, oui, le retour à la vie normale est possible !


Dans les articles vous pourrez lire mon expérience, mes impressions ; dans la page "Mon parcours" vous y retrouverez, entre autres, le suivi journalier du programme de rééducation physique, et enfin dans "Info pratiques" vous trouverez quelques démarches utiles et / ou nécessaires pour la reconnaissance de votre situation, de votre maladie et de vos droits.



lundi 20 mai 2019

Une vie active ... sans oublier de se respecter soi-même

Hyper actif en général, créatif de surcroit, engagé dans le milieu associatif sportif, social ... il y a des périodes où toutes les demandes, sollicitations affluent. C'est la saisonnalité des activités, certes, mais il faut pouvoir répondre aux sollicitations qui malheureusement sont plus bénévoles que mercantile.

Je parviens, je l'admets à faire de mes passions mon qutotidien ou presque. Pour se faire connaître, il faut donner de sa personne, s'investir et investir. 

J'ai la chance de pouvoir faire des photographies de rencontres sportives, d'être admis sur le tatamis. Il faut marcher, ramper, se tenir accroupi, à genoux, se relever rapidement, passer d'une zone à l'autre dans le gymnase ... debout sur un banc, une chaise ... les muscles sont soumis à rudes épreuves. A la fin de la rencontre j'ai parcouru parfois jusqu'à 9 kilimêtres dans le gymnase !

Je prends plaisir à faire ces photographies. Bien souvent, il me faut du repos toute une journée pour que les muscles endoloris récupèrent.

Lorsque je vois les photographies prises, ma sélection que je publie sur le web et les commentaires, je me dis que je ne me suis pas trompé.

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