Ce n'est pas une fatalité


- - - - - - - - - - - - - - - - - - - Ce n'est pas une fatalité irrémédiable - - - - - - - - - - - - - - - - - - - Comment j'ai "vaincu" la maladie - - - - - - - - - - - - - - - - - - -



Avec un bon protocole de soin, un suivi, beaucoup de temps, une rééducation physique assidue et une volonté de s'en sortir, oui, le retour à la vie normale est possible !


Dans les articles vous pourrez lire mon expérience, mes impressions ; dans la page "Mon parcours" vous y retrouverez, entre autres, le suivi journalier du programme de rééducation physique, et enfin dans "Info pratiques" vous trouverez quelques démarches utiles et / ou nécessaires pour la reconnaissance de votre situation, de votre maladie et de vos droits.



vendredi 23 mars 2012

Ma reprise d'activité sportive "intensive"

Lorsque j'ai couru la semaine dernière, je m'étais fixé un chrono maxi et une distance mini et une maxi pour ne pas me faire de mal, car je peux effectuer des activités telles que celles ci sans avoir d'alerte de douleur. je reste dons dans les limites de ce que je sais pouvoir faire.

Après une interruption longue d'activité telle que la course et le travail des abdominaux, j'ai eu mal aux mollets et aux abdominaux pendant une semaine, tous les matins au levé, les muscles tiraient, comme lorsque l'on faisait du sport. Je ressens l'effort effectué le soir ou en fin d'après midi par la fatigue qui s'abat tout d'un coup.

L'exercice physique est aussi un exutoire : toute la hargne, toute la nervosité, toute l'hyper activité confiné doit sortir, ainsi que la colère ou le mal être, les soucis, Sinon, on les fait tourner en boucle et cela devient vite une spirale descendante.

L'hyper activité pour le moment me dérègle totalement le rythme de vie, de sommeil :depuis le début de la semaine, je fais 48 heures sans dormir ensuite deux à quatre heures de sommeil et à nouveau 48 heures de veille.

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