Ce n'est pas une fatalité


- - - - - - - - - - - - - - - - - - - Ce n'est pas une fatalité irrémédiable - - - - - - - - - - - - - - - - - - - Comment j'ai "vaincu" la maladie - - - - - - - - - - - - - - - - - - -



Avec un bon protocole de soin, un suivi, beaucoup de temps, une rééducation physique assidue et une volonté de s'en sortir, oui, le retour à la vie normale est possible !


Dans les articles vous pourrez lire mon expérience, mes impressions ; dans la page "Mon parcours" vous y retrouverez, entre autres, le suivi journalier du programme de rééducation physique, et enfin dans "Info pratiques" vous trouverez quelques démarches utiles et / ou nécessaires pour la reconnaissance de votre situation, de votre maladie et de vos droits.



vendredi 3 février 2012

Une année est passée sur ma fibromyalgie

 

Il y a un an :
  • le 18 janvier, que j'ai repris le travail, d'abord à temps partiel thérapeuthique,
  • ou presque, au 04 février, que mon épouse est partie pour vivre avec son ancien directeur ;
  • fin janvier je me suis initié au tir à l'arc, et j'ai pris une licence fin février ;
  • j'étais invité par l'association des fibromyalgiques de ma région pour que je vienne témoigner, raconter mon parcours de fibromyalgique ; Il y aura une année à la fin du mois, ou presque, que j'entrai dans le conseil d'administration de cette association pour la quitter définitivement une semaine plus tard, pour des raisons personnelles ;
  • je rencontrai pour la première fois des fibromyalgiques, et j'entretiens depuis lors, des liens d'amitié particulièrement forts avec deux d'entre elles ;
Aujourd'hui,
  • depuis le 01 septembre, date à laquelle la Caisse Primaire d'Assurance Maladie m'a déclaré invalide de deuxième catégorie, je travaille à temps partiel : 2/5 jours ;
  • le divorce a été prononcé le 08 janvier 2012 ;
  • depuis cette date, j'ai rompu tous liens, toutes communications, sous quelle que forme que ce soit, avec mon épouse qui de toute façon refuse depuis son départ de communiquer ;
  • je rachette, aujourd'hui, la part de mon ex-épouse sur la maison, que j'occupe toujours ;
  • toutes les pièces de la maison ont fait l'objet de changement : certaines dans leur affectation, d'autres voient la disposition des meubles changée, l'une d'entre elle a été meublée à neuf, et j'ai refait la décoration dans toutes les pièces ou presque ;
  • j'ai renforcé ma totale autonomie, et je à vis normalement dans les limites que m'impose la maladie, limites que je tends à repousser sinon à maintenir ; Même si, au cours de certaines périodes je ne suis pas capable d'accrocher seul un cadre (fatigue), d'autres périodes me permettent de faire beaucoup de choses ;
  • je me suis engagé dans un processus d'évaluation des compétences pour pouvoir envisager ma vie professionnelle différemment, et répondre aux pressions de la médecine du travail et de mon employeur ;
  • j'essais de sortir, de faire des rencontres, pour retrouver une vie sociale, une vie de couple, une vie heureuse ;
Demain :
Demain, voilà un futur, qui a peine formulé devient le passé, non sans avoir été présent très rapidement.
Aussi, je ne tire pas de plan sur la comète, je ne formule aucun projet, je me contente de vivre pleinement le moment présent, d'apprécier les petites victoires, les instants de bonheur, et j'oeuvre à mettre en place les conditions pour renouer avec la chance, le bonheur, la vie à deux, la complicité ... demain se prépare aujourd'hui, au fil des heures qui s'égrennent !

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