Ce n'est pas une fatalité


- - - - - - - - - - - - - - - - - - - Ce n'est pas une fatalité irrémédiable - - - - - - - - - - - - - - - - - - - Comment j'ai "vaincu" la maladie - - - - - - - - - - - - - - - - - - -



Avec un bon protocole de soin, un suivi, beaucoup de temps, une rééducation physique assidue et une volonté de s'en sortir, oui, le retour à la vie normale est possible !


Dans les articles vous pourrez lire mon expérience, mes impressions ; dans la page "Mon parcours" vous y retrouverez, entre autres, le suivi journalier du programme de rééducation physique, et enfin dans "Info pratiques" vous trouverez quelques démarches utiles et / ou nécessaires pour la reconnaissance de votre situation, de votre maladie et de vos droits.



vendredi 8 juillet 2011

Point de situation au 08 juillet 2011

Douleur : 0/10
Sommeil : je fais mes nuits,
Fatigue : je récupère assez vite, je ne vis pas en état de fatigue permanent;
Moral : il y a plusieurs facteurs qui interviennent, le moral du fibromyalgique, la situation familiale (séparé depuis 5 mois), le travail à temps partiel thérapeutique ... il y a donc de belles périodes ensoleillées, sur lesquelles souffle parfois un vent de désespoir, suivi d'un épisode pluvieux, et après la pluie le beau temps ...

                                                 EN ROUTE POUR L'AUTONOMIE


Pour aller travailler, je module désormais les modes de transports en vue d'une autonomie totale pour me rendre sur mon lieu de travail (à 85 Km de mon domicile) :
- je vais à pied à la gare (une dizaine de minute de bonne marche),
- je prends le train jusqu'à la gare principale pour prendre une correspondance,
- je patiente debout trente minutes dans la salle des pas perdus de la gare en attendant le train,
- voyage en train durant trente cinq minutes (train direct),
- je me permets de remonter dans la gare en prenant l'escalier (lundi, je compterai les marches pour vous le dire),
- dans le hall de la gare m'attend le chauffeur de la société de transport adapté de la communauté de commune pour n’emmener au bureau en voiture.

Le midi, je vais en centre ville pour la pause déjeuner, à pied bien entendu et je flanne ensuite, selon mon humeur, le temps et la météo dans la rue piétonne, ou bien je vais à la FNAC

Le soir, je pars en "pédi-bus" (MDR)  (trente minutes de marche à pied avec mon beau frère) pour passer la soirée et la nuit chez ma sœur,

Le second jour, ma sœur m'amène le matin au bureau,

Le midi, je vais en centre ville pour la pause déjeuner, à pied bien entendu et je me promène ensuite, selon mon humeur, le temps et la météo dans la rue piétonne, ou bien je vais à la FNAC

Le soir, je repars en voiture avec la société de transport adapté pour rentrer à la maison (quatre vingt dix minutes de trajet).

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